Un de mes nombreux péchés mignons est d’éplucher les livres d’or d’exposition. C’est une mine d’information, d’inventivité et souvent un défouloir assez jubilatoire. Et là, première surprise, pas une critique, pas une seule en 4 pages feuilletées. Pourtant l’organisation débordée de l’accueil, la chaleur suffocante des premières salles, l’obscurité parfois limite et le monde, la…